Test de Child of Light sur PS4

Comme vous le savez sans doute déjà, j’ai craqué pour l’édition collector de Child of Light, sur laquelle j’ai poussé un petit coup de gueule . Passé la déception de l’emballage, qui viendra prendre la poussière sur une étagère, le jeu vaut-il le détour ?

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Les graphismes de Child of Light – 18/20

Non Child of Light n’est pas une démo technique ni sur PS4 (support sur lequel j’ai testé le jeu), ni même sur PS3. Child of Light arbore des graphismes 2D ultras fins, ultras détaillés où chaque décors semble tout droit sorti d’une toile de maître. En bref j’ai été totalement sous le charme de la direction artistique du jeu, l’exception peut-être du charac design de certain personnages qui peut sembler trop enfantin ou trop brouillon, mais cela se justifie par le fait qu’il s’agit d’un compte de fées. Cela n’enlève rien aux charmes visuels du soft et à sa poésie.

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Le gameplay de Child of Light – 17/20

Child of Light est un RPG unique faisant la part belle aux phases d’exploration grisantes tant par leur beauté que par l’envie d’en voir plus et de dénicher tous les secrets dont recèle l’univers… On se sent léger et libre comme l’air grâce à la possibilité de voler sans contraintes, pour explorer le monde comme bon nous semble. Il y aura tout de même quelques énigmes inutiles et peu variées qui se dresseront sur votre route.

Comme tous RPG qui se respecte, nous avons le droit à des phases de parlotes peu nombreuses, qui n’abrutiront pas ceux qui reprochent aux RPG Jap leurs longues tirades d’une demi heure. Bref c’est léger et les textes sont écris avec une certaine poésie mêlant habilement rîmes et métaphores.

Enfin le système de combat est en béton armé, à mi chemin entre tour/tour et temps réel. Chaque personnage doit attendre un certain temps (qui dépend de sa vitesse) avant de pouvoir effectuer une action. Dès qu’il a la possibilité d’effectuer une action le temps se fige et vous devrez décider de la compétence que vous souhaitez utiliser soit vous défendre pour limiter les dégâts reçus et pouvoir ré-attaquer rapidement derrière ou effectuer une attaque plus ou moins longue à réaliser durant laquelle vous êtes potentiellement vulnérable et où vous pouvez vous faire interrompre  (ou l’inverse ^^).

Vous pouvez avoir deux personnages en parallèle au combat et les intervertir avec vos autres personnages  comme bon vous semble.

Child of Light intègre aussi un système de crafting simple et basique, qui a le mérite de ne pas être prise de tête, dans lequel vous pourrez combiner des pierres précieuses (collectées dans les coffres ou sur les monstres), ces pierres précieuses pouvant ensuite être attribuées à vos personnages pour accroître leur résistance à un éléments, leur forces ect…

Child of Light et un RPG simple, facile à prendre en main et sans fioritures, qui le rend abordable à tous, tout en restant un minimum tactique.

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L’ambiance sonore de Child of Light – 17/20

Compositions symphoniques et orchestrales, voila le programme ! Les compositions sont magnifiques et nous plongent dans l’ambiance compte de fées du soft. Les dialogues ne sont pas doublés et c’est certainement mieux ainsi, comme au temps des anciens FF. C’est superbe !

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Le scénario de Child of Light – 15/20

Le jeu met en scène Aurora, une princesse prisonnière d’un monde alternatif. Dans sa quête pour revenir chez elle, celle-ci doit ramener le soleil, la lune et les étoiles, tenus captifs par la mystérieuse reine de la nuit. Aurora sera aidée dans sa quête par son compagnon Igniculus la luciole et d’autres improbables allié.

Child of Light est un compte de fées poétique, ni plus ni moins. Ne vous attendez à a trouver un scénario de malade mental poncutué de rebondissements par millier. Child of Light fait dans la simplicité et la sobriété… Cela peut sembler décevant, mais le pari est réussi et on rentre pleinement dans cette histoire ou plutôt devrais-je dire dans son univers et son ambiance.

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La durée de vie de Child of Light- 17/20

Il faut compter 10h pour boucler Child of Light à 100%, dommage que le challenge n’ai pas été renforcé avec un trophée platine ou même or :-/. Toujours est-il que 10h de jeu pour moins de 20 euros, c’est clairement un bon plan !

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Ma conclusion sur Child of Light – 17/20

Child of Light est une oeuvre d’art ludique, qui vous ensorcelle grâce à ses graphismes sublimes, ses musiques incroyables, son histoire simpliste mais  ô combien maîtrisée sur la forme. Son gameplay est en béton armé, simple et profond. Child of Light est un chef d’oeuvre sous estimé par Ubisoft quand on voit la tronche du collector et l’absence de boite ! Child of Light aurait pu être vendu 60 € sans que cela ne me choque.

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